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En 2026, la Nouvelle-Zélande prévoit de lancer un système de transport urbain unique qui promet d’être une solution révolutionnaire pour se déplacer dans la ville. Selon le portail New Atlas, le nouveau système ressemblera à une version améliorée du téléphérique, mais avec un certain nombre de différences significatives.

Le système sera basé sur des voitures autonomes équipées de leurs propres moteurs et d’un système de contrôle de l’itinéraire. Contrairement aux téléphériques traditionnels, qui suivent des lignes fixes, les voitures pourront se déplacer le long d’un réseau complexe de câbles modulaires courts, en passant librement de l’un à l’autre. Cette structure rend le système plus rentable, plus flexible et moins dépendant de l’infrastructure routière existante.

L’une des principales caractéristiques du système sera son caractère privé et pratique. Les voitures pourront partir de n’importe quel arrêt et choisir automatiquement le meilleur itinéraire vers leur destination.

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Des scientifiques de la collection bavaroise de paléontologie et de géologie ont redécouvert une espèce de dinosaure prédateur qui vivait en Afrique du Nord il y a environ 95 millions d’années. Le seul spécimen connu de ce dinosaure a été détruit lors d’un bombardement pendant la Seconde Guerre mondiale, mais des photographies et des archives récemment découvertes ont permis de reconstituer sa description.

La nouvelle espèce a été baptisée Tameryraptor markgrafi. Ce prédateur mesurait environ 10 mètres de long et possédait une corne sur le nez et des dents symétriques. Les chercheurs estiment que la diversité des dinosaures en Afrique du Nord à cette époque était beaucoup plus riche qu’on ne le pensait. Ils soulignent également l’importance de l’étude du matériel d’archives pour la paléontologie, car les découvertes perdues peuvent être retrouvées grâce à d’anciens documents et photographies.

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Une découverte faite dans l’Oxfordshire, en Angleterre, a stupéfié les archéologues et les paléontologues : un ouvrier d’une carrière est tombé par hasard sur des empreintes de dinosaures vieilles de quelque 166 millions d’années. Ces empreintes, trouvées sous l’argile, forment une sorte d’« autoroute », une chaîne de plus de 200 empreintes qui s’est avérée être la plus grande du Royaume-Uni.

Des chercheurs des universités d’Oxford et de Birmingham ont déterminé que les empreintes appartiennent à deux espèces de dinosaures. La première est un Cetiosaurus herbivore mesurant jusqu’à 18 mètres de long, tandis que la seconde est un Megalosaurus carnivore mesurant jusqu’à 9 mètres de long. La plus longue piste découverte dépasse les 150 mètres.

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Des scientifiques chinois ont découvert que le champ magnétique de la Lune persistait depuis bien plus longtemps qu’on ne le pensait. L’analyse d’échantillons livrés par la mission Chang’e-5 a montré qu’il y a environ 2 milliards d’années, l’induction du champ magnétique lunaire était de 2 à 4 microtesla, soit moins de 10 % de l’intensité du champ magnétique terrestre actuel.

Les chercheurs suggèrent que ce champ faible mais stable a été maintenu par des processus à l’intérieur de la Lune, tels que la cristallisation du noyau, qui ont permis à la « dynamo » de fonctionner. Le champ magnétique a joué un rôle important dans la protection de la surface lunaire contre le rayonnement solaire et dans la conservation de l’eau.

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L’université de technologie de Tallinn a mis au point des pieds robotiques innovants qui reproduisent la forme et les propriétés des sabots d’élan. Cette technologie biomimétique permet aux robots à quatre pattes de se déplacer efficacement sur des surfaces difficiles telles que la boue, la neige et les zones glissantes. L’étude, publiée dans la revue Bioinspiration & Biomimetics, démontre le potentiel de cette nouvelle conception dans les domaines de l’agriculture, de la surveillance de l’environnement et des secours en cas de catastrophe.

L’idée de créer de tels pieds revient au doctorant Simon Pierre Godon, qui, alors qu’il travaillait dans une ferme, a observé les mouvements des animaux. Des expériences menées avec de vrais sabots d’élan ont montré qu’ils augmentaient la surface de contact avec le sol et réduisaient le risque d’enlisement.

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